« Il est temps de corriger les erreurs du passé ». Cette phrase devenue électoraliste chez plusieurs hommes politiques congolais en période des élections, pour Jean-François Alauwa, elle est pourtant un état d’esprit que devrait s’approprier chaque citoyen dans son quotidien pour espérer au réel changement de la RDC longtemps souhaité.
Devant la presse, au sortir du bureau de réception et de traitement des candidatures où il a déposé sa candidature à la législative nationale ce samedi 15 Juillet, l’avocat et Assistant deuxième mandat à l’Université de Kisangani, Maître Jean-François Alauwa, a noté qu’il y a sérieux problème de redevabilité des représentants envers la population. Un constant qui serait sans doute la principale motivation de sa candidature aux législatives nationales.
Depuis un temps, nous souffrons d’un problème de redevabilité envers la population, cela pose un sérieux problème.
a-t-il indiqué
Parce que, renchérit-il, « si vous n’écoutez pas la population qui vous a mandaté, il est très difficile d’avancer ». Il estime alors, que ce problème est d’autant criant qu’il faudrait nouer cette séparation qui existe entre le représentant et le représenté.
Amoureux du sport et encadreur des jeunes, Jean-François Alauwa a promu beaucoup de jeunes talents évaluant au centre académique Elikya. Nombreux d’entre ceux qui ont le ballon rond comme discipline de prédilection, passent de l’académie à une vraie carrière aux championnats local et national du football, respectivement à l’Entente urbaine de Football de Kisangani (EUFKIS) et à la Ligue national de Football (LINAFOOT).
Bien que la classe juvénile soit le plus souvent bénéficiaire principale de ses actions, il promet une représentation sincère et bénéfique au niveau national. Il faudra donc, selon lui, regarder le passé, voir la présent, cela, pour que le futur ne soit pas comme le passé.
« Nous ne devons plus recoudre les erreurs du passé » a-t-il conclu.
Pour rappel, Maître Jean-François Alauwa a postulé à la députation nationale pour le compte du parti politique Bloc uni pour la Renaissance du Congo (BUREC), cher au Ministre de l’Industrie et ex-Gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku