
Les étudiants et les agents de la police nationale congolaise continuent de vivre comme chien et chat, à Kisangani comme partout en République Démocratique du Congo.
À Kisangani, aux lendemains des manifestations des étudiants de l’Université de Kisangani devant le Bâtiment Administratif le lundi 26 septembre pour le rétablissement de l’électricité sur le campus, et au cour desquelles un cas de vol par un agent de l’ordre a été signalé dans le home du complexe Elungu, les agents de la PNC à Kabondo, conduit par le fameux colonel Yahvé, ont enregistré leur dernière bévue du mois, le jeudi 29 septembre dernier, pillant ainsi le bus des étudiants, alors qu’ils ramenaient la dépouille mortelle de leur camarade à sa dernière demeure.
Cet acte répétitif a touché pour la énième à la sensibilité leur représentant, victime lui aussi de cette menace policière.
Dans une interview exclusive accordée à Kabalisolo.com, Éric Yaufa a alerté les autorités sécuritaire de la ville.
À la grande surprise, les étudiants accompagne un cadavre pour l’inhumation, la police nationale congolaise barricade la route sur ordre donné par le colonel dénommé Yahwe pour empêcher qu’on puisse enterrer en paix notre camarade, et cela a trainé le désordre jusqu’au point que les étudiants ont été victime de vol, des agressions, des coups et blessure, des coups de balles qui a dispersé les étudiants
Rapporte-il
C’est un constant très amer que nous avons fait
Dit-il
c’est ainsi que nous appelons les policiers de pouvoir revenir à la raison et de suivre les très bons chemins. Dans des prochaines manifestations, parce que nous constatons que cela se répète de plusieurs fois, nous informons que nous les étudiants réagiront également comme les étudiants et nous allons également manifester comme les étudiants au cas où les policiers ne se comporteront pas comme les agents de l’ordre
a-t-il prévenu, tout en tirant la dernière sonnette d’alarme.