Dans son discours du lancement de la campagne électorale lundi 20 novembre 2023, le patron du Tout Puissant Mazembe a promis de doter à la ville de Kisangani un nouveau stade moderne, capable d’abriter des grandes compétitions sportives.
Ce n’est secret pour personne. Les infrastructures sportives font partie des grands défis auxquels fait face la province de la Tshopo depuis toujours.
L’unique stade viable capable d’accueillir les compétitions sportives nationales, le stade Lumumba, est en fermeture depuis plus de deux ans pour des travaux de réhabilitation sans fin. D’ailleurs, pour Moïse Katumbi, « la ville de Kisangani n’a pas un stade. Ce qui est là n’est pas un stade. » a-t-il déclaré.
Le terrain de l’Athénée Royal de Kisangani, parfois homologué, parfois non, cette condition préjudicie très souvent les équipes de Kisangani évoluant à la deuxième de la ligue nationale de football (Linafoot D2) dans la zone Est B.
Le Premier Ministre, Le Président du Sénat, le VPM de la Fonction publique…toutes les autorités nationales ont pourtant chacun visité au moins une fois ce stade aux travai
Dans son meeting, à l’esplanade de la poste de Kisangani, alors qu’il décrivait les axes prioritaires de son projet de société pour la province de la Tshopo, Moïse Katumbi a fait un vœu. Une fois élu, a-t-il déclaré, la ville de Kisangani aura un stade digne de son nom.
Nous allons faire un effort pour que coupe d’Afrique des nations se jouent en RDC, et à Kisangani. Kasusula est venu de Kisangani avant d’arriver à Mazembe et en équipe nationale.
A-t-il promis.
À ce projet de construction d’un stade moderne, s’ajoutera, promet-il, la formation des jeunes talents boyomais, ce qui leur permettra d’évoluer vite et réussir leur carrière les autres jeunes joueurs par l’Académie de Mazembe.
En s’appuyant sur l’exemple de Jean Kasusula, Moïse Katumbi promet également que les jeunes joueurs boyomais qui sont dans le centre sportif de Mazembe aurons la possibilité d’aller évoluer ailleurs, comme au Real Madrid où à Barcelone afin qu’ils écrivent eux aussi l’histoire de la ville de Kisangani comme les autres l’ont fait.