Alors que l’on s’attendait à un éventuel changement ce lundi 1er novembre, les enseignants ont décidé de poursuivre le mouvement de grève, en place depuis la rentrée scolaire 2021-2022.
Comme dans toutes les villes du pays, ou presque, les écoles publiques de la capitale n’ont toujours pas ouvert leurs portes, les élèves qui y débarquent sont contraints de retourner à la maison.
En ce qui concerne les négociations, les enseignants et leurs délégués sont toujours dans des divergences avec le gouvernement, qui, à en croire ces professionnels de la craie, n’a toujours pas répondu favorablement à leurs préoccupations. Cette situation rend le début des cours dans les écoles publiques de plus en plus hypothétiques.
Par ailleurs, sachez que l’Intersyndicale de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST), en collaboration avec le banc syndical des enseignants, annonçait la suspension de cette grève, via un communiqué signé par leur porte-parole, Godefroid Matondo, vendredi 29 octobre dernier. Ceci n’a donc pas porté de fruit, et les enseignants ne semblent pas abdiquer.
